понедельник, 12 марта 2012 г.

Individual Rights? Public Responsibility?

Public Health in the Balance

The recent rubella outbreak in southern Ontario shines a spotlight on a significant public health policy question - Who is responsible for the public's health? Is it the health care system with hospitals, family doctors and specialists? The public health system with vaccines, nurses, epidemiologists, laboratories? Schools and employers who set standards for attendance? Parents, students, individuals, whose individual behaviour has community consequences?

All of these players are intertwined - there can be no standalone smokestacks where the public's health is concerned. What is the impact on a community if a school board does not require immunizations for school entry? Or on an employer, whose workers must stay home to take care of sick children? What is the effect on an already over-loaded hospital when influenza patients need health care? And the effect on the economy when huge revenue-generating events such as international conferences are cancelled, resulting in lost revenue to the travel and hospitality industry, not only in Canada but internationally?

Many diseases can be prevented by basic public health activities by individuals. Hand-washing - that old-fashioned habit - can reduce school absences by up to one third in some cases. Influenza immunization is another proven preventive action that reduces absence from work, and reduces pressures on the health care system.Cough etiquette - another habit our families drilled into us - can keep highly contagious viruses off of the hard surfaces that they delight in, and away from other people's respiratory tracts.

The World Health Organization has just urged nations to pay more attention in planning for pandemic influenza - are we ready? Are our organizations, our families prepared?

Sometimes the simple, basic actions by individuals, families and organizations can be the best prevention in respiratory illness. Let's put in the full Ounce of prevention' so that the 'pound of cure' is not needed. Let's encourage everyone to do what they can to promote the public's health.

Elinor Wilson

Chief Executive Officer

Droits individuels? Responsabilit� publique?

La sant� du public d�pend de leur juste �quilibre

La r�cente flamb�e de rub�ole dans le sud de l'Ontario a braqu� les projecteurs sur une question �pineuse pour les politiques de sant� publique : Qui est responsable de la sant� du public? Est-ce le syst�me de soins de sant�, avec ses h�pitaux, ses m�decins de famille et ses sp�cialistes? Le r�seau de la sant� publique, avec ses vaccins, ses infirmi�res, ses �pid�miologistes, ses laboratoires? Les �coles et les employeurs, qui fixent les normes de fr�quentation de leurs �tablissements? Ou les parents, les �l�ves et les particuliers, dont les comportements individuels ont des cons�quences collectives?

Tous sont responsables, car personne ne peut agir en vase clos lorsque la sant� du public est en jeu. Quand un conseil ou une commission scolaire n'exige pas des enfants qu'ils soient vaccin�s avant leur inscription � l'�cole, quel effet cela a-t-il dans la collectivit�? Ou sur les employeurs, dont les travailleurs doivent rester � la maison pour s'occuper d'enfants malades? Quel effet cela a-t-il sur un h�pital d�j� surcharg� qui doit accueillir des patients gripp�s? Et sur l'�conomie quand il faut annuler des activit�s comme des conf�rences internationales, qui produisent d'�normes recettes? Les secteurs des voyages et de l'accueil y perdent, non seulement au Canada mais aussi � l'�tranger.

De nombreuses maladies peuvent �tre �vit�es par des gestes de sant� publique de base, pos�s individuellement. Le fait de se laver les mains n'est pas une habitude d�pass�e : cela peut r�duire du tiers l'absent�isme dans les �coles. La vaccination contre la grippe est une autre mesure de pr�vention �prouv�e qui r�duit l'absent�isme au travail et soulage la pression exerc�e sur le syst�me de soins de sant�. Les r�gles de biens�ance lorsqu'on tousse, sur lesquelles nos parents ont tant insist�, peuvent �loigner les virus contagieux des surfaces dures o� ils prolif�rent, et �pargner les voies respiratoires des personnes que l'on c�toie.

L'Organisation mondiale de la sant� vient d'exhorter les pays � mieux se pr�parer pour une pand�mie de grippe; sommes-nous pr�ts? Est-ce que nos familles, nos entreprises et nos organismes le sont aussi?

Parfois, de simples gestes pos�s par les particuliers, les familles, les entreprises et les organismes sont les meilleurs moyens de pr�venir les maladies respiratoires. Mieux vaut pr�venir que gu�rir, dit-on. Pr�venons donc, pour ne pas avoir � gu�rir. Encourageons chacun et chacune � faire de son mieux pour promouvoir la sant� du public.

La chef de direction

Elinor Wilson

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